Tueur du brabant Wallon : La cellule tuerie du Brabant Wallon renforcée, mais ….
La prescription va probablement passer de 30 à 40 ans. Pour poursuivre ses recherches, la cellule TBW doit renforcer ses affectifs. Un appel a été lancé aux PJ Mons.
Des grosses pointures spécialistes du terrorisme, du grand banditisme, trafics d’armes, voiture etc.… se sont immédiatement portés volontaires. A leur grand étonnement, ils ont été sympathiquement écartés. Les sélectionneurs préférant porter leur choix sur des enquêteurs à quelques mois de la pension ou encore sur d’autres en mauvaise santé et régulièrement en congé de maladie.
Il apparait également que les personnes sélectionnées pour rejoindre la cellule TBW, tout en étant très bons enquêteurs, ne sont aucun des spécialistes du grand banditisme ou du terrorisme.
Une aubaine pour ceux qui prennent un malin plaisir à mettre les enquêteurs sur de fausses pistes.
Pour aboutir, il faudrait arriver à comprendre la motivation des tueurs et ce point divisent les magistrats.
Existe-t-il un point dénominateur commun entre les victimes ? En écrivant ces lignes, je pense évidemment à : Auberge du Chevalier à Beersel. Le 23 décembre 1982, José Van de Eynde est torturé et ensuite abattu de six balles de 22 long en pleine tête. Le 12 janvier 1983, le corps de Constantin Angelou, 58 ans, chauffeur de taxi bruxellois est retrouvé à Mons dans le coffre de sa voiture. L’homme a été exécuté de plusieurs balles dans la nuque de calibre 22 long. Le 17 septembre 1993, Jacques Fourez, 49 ans, et sa compagne Elise Dewit sont exécutés sur le parking du supermarché Colruyt à Nivelles. Le 02 octobre 1983, Jacques Van Camp, 59 ans, patron de l’Auberge des 3 canards à Ghain est exécuté d’une balle dans la nuque avec une arme utilisée au supermarché Colruyt de Nivelles.
Un lien existerait entre ces personnes ! Plus extraordinaire encore, le successeur de José Van de Eynde, Monsieur MF connaissait les victimes et il a caché pendant ± 15 jours le fils de José qui craignait de subir le même sort que son père. Pourquoi cette peur ? Que savait-il qui mettait sa vie en danger ? Pourquoi ne pas demander la protection de la justice plutôt que celle de MF ?
Le 09 novembre 1985, les tueurs abattirent à Alost un homme dont on a dit qu’il fut longtemps mêlé avec un important homme politique, à un gros trafic de diamants et d’armes.
Pourquoi Mendez enquête-t-il sur ses exécutions ? Comment se fait-il que la luxueuse villa où se déroulaient les ballets roses qui ont tant fait fantasmer la population belge appartenait-t-elle à raison de 50% à sa sœur et les autres 50% à un important homme politique wallon. L’entrepreneur qui a placé les portes et les fenêtres de cette villa et a réceptionné, pour nom et compte de l’homme politique wallon, l’ouverture des compteurs d’énergie eaux, gaz, électricité habite en région liégeoise. Il y a toujours dans son portefeuille sa carte de membre du Jonathan et des photos de lui en compagnie de Hammers, Lammers et d’autres dangereux truands cités dans le dossier TBW. Quand il est saoul, il est très fier de les exhiber. Je les ai vus.
Tout ce qui précède est très troublant et permet de mieux comprendre les énormes difficultés que rencontrent les enquêteurs à découvrir la vérité
Léon ROUFOSSE